"Le concept d'organisme montre aujourd'hui ses limites : il faut désormais prendre en compte le fait qu'un animal ou une plante ne peut vivre sans les multiples microorganismes qui l'habitent."
En effet, le corps humain renfeme d'avantage de cellules bactériennes que de ses propres cellules humaines ! Et c'est sans compter les gènes de viraux présents dans notre ADN.
Ainsi la notion d'individé colonisé de microbiotes (buccal, cutané, intestinal) n'est même plus suffisante.
D'où le concept d'holobionte (du grec holo, tout, et bios, vie), qui désigne l'unité biologique composée de l'hôte (plante ou animal) et de tous ses microorganismes.
La suite est à lire dans cet article en ligne de la revue Pour la Science.