Avec simplement 4 bases azotés, l'ADN constitue ce que l'on nomme couramment comme l'alphabet de la vie.
Mais les biotechnologies et les nanotechnolgies laissent entrevoir, depuis plusieurs années déjà, des possibilités incroyables dans le domaine du stockage des données.
Là où un disque dur physique ou ue mémoire flash stocke en binaire (O ou 1), l'ADN code les informations sur 4 bases.
En 2013 déja, Pour la Science évoquait cette posssibilité.
Moins de deux ans plus tard, les premières réalisations voient le jour.