Parcours d'élèves

Dans un premier temps j'ai fais une première année en D.U.T chimie en Seine Maritime, je me suis ensuite réorientée en D.U.T génie chimique génie des procédés pour être dans le domaine de l'industrie pharmaceutique. Je suis actuellement en deuxième année sur Saint-Quentin en génie chimique génie des procédés.

Je suis un ancien élève de STL du Lycée Louis Bertrand et j’ai eu mon bac en 2015.

Déjà mon arrivée en STL : j’étais plutôt dans l’optique d’un bac S (voir ES) mais j’ai été un peu « forcé » par l’administration du lycée qui m’ont dit « c’est soit la STL ou soit tu redoubles ta seconde », malgré une moyenne générale qui me semblait satisfaisante (NDLR : comme quoi…) ; j’ai pris l’option du bac STL plutôt que refaire une année de seconde. Je ne connaissais rien de la STL lorsque j’ai accepté d’y aller, j’ai donc dû faire mes propres recherches car c’était la première promo du lycée et il n’y avait aucune réelle information dessus dans mon lycée. Mes premières impressions ont été plutôt bonnes, je me suis dit que le coté pratique de la filière semblait sympathique et m’intéressait grandement. Au final, j’ai passé 2 années géniales qui m’ont fait aimer les biotechnologies, jusqu’à me donner l’envie de travailler dans ce domaine plus tard.

A l’heure de l’orientation, c’était le flou total. Dans un premier temps, j’avais mis le BTS BIOAC en premier vœu et, sur les conseils de mon enseignant, j’ai mis la CPGE TB en deuxième vœu. À ma grande surprise, j’ai été refusé au BTS et accepté en CPGE TB à Strasbourg.

Du coup, je m’informe de nouveau sur cette formation que je connaissais peu, mais où j’avais accepté de m’engager après l’obtention de mon bac. Mes premières impressions étaient plutôt mitigées : peu de pratique et beaucoup de cours (42 h par semaine). J’allais intégrer une nouvelle classe, arriver dans une nouvelle ville (où je n’avais aucune connaissances) et avec l’idée en tête que j’allais intégrer une classe avec une ambiance « esprit concours », que toutes les personnes présentes allaient être des têtes de classe qui ne penseraient qu’au travail et sans vie sociale (soit tous les clichés qu’on peut lire sur internet !).

Après avoir obtenu mon bac avec mention (mention Bien)n j’ai donc intégré la prépa TB de Strasbourg, avec mes camarades de classes qui, comme moi, se retrouvent dans la même barque.

Les études sont compliquées et intenses mais cela reste faisable ; par exemple sur les 3 premiers mois, j’avais réussi à avoir un bon rythme de travail et j’étais en tête de classe. Mais, un grand coup d’arrêt lorsque j’ai eu une dépression, sûrement du à ce changement brutal de rythme. A partir de là,  ça a été la dégringolade au niveau des notes (12 de moyennes en novembre, 7.5 de moyenne en Juillet) car l’envie de travailler avait totalement disparu. Au final, je suis passé en deuxième année malgré ma baisse de motivation et mes résultats plus que médiocres, grâce à mon bon début d’année qui a joué en ma faveur).

En deuxième année, j’ai commencé avec un bon rythme de travail mais j’ai vite lâché car la motivation n’était pas du tout présente. Du coup, une année moyenne, tendant vers le médiocre, ce qui ne m’a pas aidé au moment des concours qui m’ont malheureusement échappé de 9 places. Malgré cet échec, ma « position » a convaincu mes professeurs sur la possibilité d’accéder à une école en retentant ma chance.

Actuellement, je suis donc en « 5/2 » (deuxième deuxième année de CPGE) avec une motivation qui qui était peu présente sur le début d’année, mais des résultats en hausse car lorsqu’on recommence, c’est plus simple.

Maintenant (NDLR : en janvier), j’ai un objectif et cela m’a permis de retrouver ma motivation et je suis en sprint final avec un bon rythme de travail que je dois tenir jusqu’en mai pour être prêt pour les concours écrits.

L’objectif qui m’a remotivé est mon envie d’accéder à l’une des plus grandes écoles de France qui est l’ENS (l’Ecole Normale Supérieure, qui me permettra de préparer le concours d’agrégation), mon objectif principal étant toutefois de devenir chercheur en virologie ou neurologie.

Avec cet objectif, l’ENS est la meilleure option au niveau du « prestige » mais l’intégration de cette école reste très compliquée et, pour cela, j’ai prévu des portes de secours avec des écoles d’ingénieur de biotechnologie ou même des écoles d’ingénieur agronome.

Je pense qu’il est aussi important de parler de l’aventure CPGE à travers les rencontres que l’on fait durant ces années. Le fait que les étudiants traversent la même épreuve va permettre de réaliser les plus belles rencontres de vos vies d’étudiant. Ils seront là dans les bons et mauvais moments, ils seront toujours là pour remotiver et l’entraide est plus que présente. L’esprit concours n’existe pas dans la classe en CPGE TB car tout le monde est là pour s’aider et réussir ; finalement si esprit concours il y a, ça serait plutôt présent avec les autres prépas TB de France et c’est d’ailleurs ce que nos professeurs nous inculquent dès le début ; ils vont nous pousser à notre maximum (peut-être un peu trop !). De plus, les professeurs sont exigeants mais sont très présents pour les élèves, ils seront toujours là pour optimiser notre travail et ils vont nous accompagner parfaitement sur notre orientation.

Donc, l’aventure « prépa » est difficile et intense, mais l’aventure humaine est formidable et c’est ce qui me fait n’avoir aucun remord sur mon parcours scolaire et m’a fait tenir 3 ans de prépa.

Après avoir présenté mon ressenti de l’expérience en CPGE, voici comment se déroule la prépa :

1^ère année :

Semaine type : du Lundi 8 h au Samedi 11 h 

- 8 h de mathématiques (+ 2 h d’informatique) : ça sera une année pour mettre en place toutes les bases d’analyse mathématiques, une phrase que le prof vous dira au premier cours : « toutes vos connaissances en mathématiques, ce n’est pas compliqué vous oubliez tous et on reprend à zéro »

Pour l’informatique, c’est l’apprentissage d’utilisation du programme informatique python.

- 6 h de physique-chimie : assez général (ex : chimie organique, thermochimie, mécanique, mécanique des fluides, …)

- 8 h de SVT : étude de la cellule eucaryote, approfondissement du rôle et du fonctionnement de la membrane, la biosynthèse au sein des cellules, la reproduction animale et végétale, la reproduction cellulaire, …

- 6 h de biotechnologies : 2 matières distinctes : microbiologie et biochimie

- 2 h de français-philosophie : étude philosophique sur 3 œuvres générales à la filière.

- 2 h de TIPE : équivalent du PTA

- 3 h de DS (devoir surveillé)

- 3 h de kholle : interrogation orale sur un thème précis du cours où vous devrez exposer ce thème à l’oral.

- 2 h d’anglais

- 2 h d’EPS

à Soit 42h par semaine. Il y a des TP mais pas tant que ça.

En 1^ère année, la décision du passage en 2^ème année est faite par les professeurs durant le conseil de classe en fin d’année.

2^ème année :

Semaine type : du Lundi 7 h 45 à Samedi 11 h ou vendredi 18 h (ça dépend s’il y a 6 h ou 3 h de DS)

- 8 h de mathématiques : probabilités et algèbre linéaire.

- 6 h de SVT

- 6 h de biotechnologies

- 6 h de physique-chimie

- 2 h de français-philosophie

- 2 h de géographie : étude géographique de la carte de France (urbanisme, présentation des agricultures présentes en France, etc…)

- 2 h d’anglais

- 2 h d’EPS

- 3 à 6 h de DS

- 3 h de kholle

àSoit 40 à 43h par semaine.

En 2^ème année, votre intégration dans une école dépend du classement lors des épreuves du concours. Donc, vous pouvez avoir 14 mais s’il y a 100 élèves meilleurs que vous dans la France, vous ne serez pas pris.

Donc, l’année de prépa reste assez générale pour avoir la possibilité d’intégrer une plus large gamme d’école d’ingénieur et lorsque que vous aurez intégré une école, ça sera à ce moment que vous commencerez à vous spécialiser dans votre domaine d’étude.

Si jamais vous voulez en savoir plus, les portes ouvertes, du Lycée Jean Rostand à Strasbourg, sont prévues pour le Samedi 10 Février. Même si vous n’êtes pas intéressés par une prépa, notre lycée est réputé pour ces BTS car ils sont d’un très bon niveau qui possède des laboratoires modernes et très bien équipé.

De plus, la vie étudiante à Strasbourg se trouve être très agréable !

J'ai eu envie de faire STL plutôt que S car la STL apporte de la pratique et une spécialisation qu'il n'y a pas en S, la Biotechnologie.

J'ai toujours été passionné par l'infiniment grand et l'infiniment petit, et le bac STL est la seule filière qui permet d'étudier un de ces deux domaines avant le bac.
En première, je m'interressais déjà à ce que je voulais faire après le bac, et étant un grand curieux, je ne voulais pas arreter les études très tôt. J'ai découvert l'ESBS (École Supérieur de Biotechnologie de Strasbourg) et je voyais cette école comme la juste continuité de la STL Biotechnologie, en passant par deux années en école préparatoire aux grandes écoles.

Après avoir décroché le bac STL, j'ai pu intégrer la prépa TB (Technologie Biologie) à Jean Rostand à Strasbourg. La prépa TB est réservé aux élèves de STL Biotech, STL SPCL, ainsi que quelques places pour la filière STAV. Il est inutile de préciser que le niveau est nettement supérieur à ce que l'on attend d'un élève pré-bac, et que même si l'on est prévenu de la difficulté, j'ai tout de même été étonné.

Des camarades de classe ont déjà abandonnés, et il ne reste que 17 élèves en 2^ème année de la promo de l'année dernière, le reste des élèves complétant les effectifs jusqu'à 26 étant des "5/2" (c'est à dire des redoublants souhaitant retenter leur chance au concours).

Mais après cette petit dramatisation, il faut bien admettre aussi que la prépa reste tout de même surmontable, et tout élève motivé peut y arriver à force de travailler. Ce n'est que 2 ans dans une vie où il faut savoir endurer la difficulté au profit de l'école que l'on veut intégrer par la suite.

Dans mon cas, et à l'heure actuelle des choses, c'est a dire décembre 2017, je suis dans un période où je réfléchis beaucoup et où je me remet beaucoup en question... En effet, après un debut d'année plutot correct, ma motivation et mon envie de travailler ont fortement diminué. La STL me manque presque, et je me retrouve dans la même situation que lorsque j'ai redoublé ma seconde : trop de theorie pour trop peu de pratique, a peine 3h-4h de TP par semaine, je me rends compte que ce que je fais en prépa ne me plait pas plus que celà et que je ne sais pas vraiment quoi faire après cette prépa, l'ESBS n'admettant que 2 élèves admis sur environ 100 (sur 180 qui passe le concours).

Affaire à suivre, je n'arrête pas la prépa et je cherche actuellement de la motivation.

Pour mes études :

• 2nde SMS (sciences Médico-social),
• 1ère et terminale F7 (ancienne version du bac STL)
•  BTS biotechnologies,
• licence/maîtrise de biologie végétale,
• DEA (l'équivalent de l'actuel Master) biotechnologies,
• Doctorat en Biologie moléculaire et Immunologie.
• Professionnellement: Chef de projet R&D (NDLR : Recherche et Développement) diagnostic médical, puis chef de projet gestion de données clinique.
  
  Comme quoi, ça mène à tout :-). Si c'était à refaire, je ferai la même chose :-):-)

Depuis le début du collège, j'étais très intéressé par le domaine scientifique. C'est pour cela que lors de mon stage d'observation de troisième j'ai décidé de le réaliser dans un laboratoire de recherche Inserm. Lors de ce stage je me suis rendu compte que ce métier de technicien était fait pour moi.

J'ai donc fait des recherches pour savoir quel type de formation il fallait que j'entreprenne afin d' arriver à mon objectif c'est-à-dire être technicien de laboratoire. Je me suis alors orienté vers un baccalauréat STL biotechnologies que j'ai réalisé au lycée de la vallée des Chevreuses À Gif-sur-Yvette. C'est 2 années de baccalauréat m'ont permis de confirmer mon envie de vouloir travailler dans le monde scientifique et d'être technicien de laboratoire.

C'est ensuite tout naturellement que je me suis orienté vers un BTS analyses de biologie médicale que j'ai fait au lycée Marie Curie à Versailles. Lors de ce BTS j'ai réalisé 2 stage dans deux laboratoires différents. Ces stages m'ont permis de comprendre que je ne voulais plus être enfermé dans un laboratoire mais discuter avec les gens. J'ai donc recherché une formation alliant mes connaissances scientifiques ainsi que ma volonté de communication/vente.

J'ai découvert la licence professionnelle vente et marketing en instrumentations et réactifs de laboratoire à l'ESTBA. Cette licence se faisait en alternance. Je l'ai effectué au sein de la société Eurobio en temps qu'assistant chef de produits immunologie. Cette année m'a confirmé mon envie de vouloir travailler dans le monde du marketing.

J'aidécidé de poursuivre mes études en commençant un Master en marketing stratégique afin de peaufiner mes connaissances. Je réalise ce Master en alternance toujours au sein de la société Eurobio. Si je devais décrire où est-ce que je me vois dans cinq ans, j'aimerais devenir chef de produit ou directeur marketing toujours dans le domaine scientifique.

Actuellement en 1ère année de BTSA Analyses Agricoles, Biologiques et Biotechnologiques, j'ai obtenu mon bac STL en 2016 (au rattrapage, car j'ai eu beaucoup de difficulté tout au long de l'année). 

Pourquoi j'ai choisi ce bac ? Je me suis beaucoup interrogé sur cette section car elle est différente de toutes les autres :  il y a certes de la théorique mais beaucoup de pratique, et vu que je suis plus "pratique", j'ai décidé de choisir le bac STL plutôt que le bac S

A la fin de l'année, j'ai été fortement déçu car tous mes choix de formations post-bac avaient était refusés, et je fus donc obligé d'aller en faculté (UFR scifa de Metz) ; mais au mois de novembre, j'ai reçu un appel d'un BTSA me disant qu'une place  s'était libérée.

J'ai passé mes examens de janvier : j'ai fini 5^ème de ma promo sur 75,  avec une moyenn générale de 15.85 !

Je suis actuellement étudiante en 2 ème année de BTS d'analyse de biologie médicale.

J'ai obtenu mon bac STL de biotechnologie en 2014.

Pourquoi avoir choisis ce bac? Tout simplement parce que depuis longtemps le milieu du laboratoire m'intéresse. Je trouve ce domaine très intéressant aussi bien pour la recherche que pour un suivi médical d'un(e) patient(e).

"La STL m’a été présentée pour la première fois en seconde, mais j’avais alors préféré choisir la filière générale scientifique, pensant à tort qu’il s’agissait de la seule voie pour entrer dans les écoles d’ingénieur. Mon année de 1ère S a été moyenne, les SVT m’intéressaient, mais pour tout dire, les maths et la physique ne me passionnaient pas vraiment, car vraiment trop abstraites à mon goût. Je sentais qu’il me fallait quelque chose de plus concret. C’est ainsi que je suis entré en STL.

Les deux années passées en STL restent sans doute mes meilleures années pré-bac. J’ai repris plaisir à aller aux cours et je me suis découvert une passion pour la microbiologie. J’ai eu mon Bac en 2012 avec mention TB.

En fin de terminale, j’ai longuement hésité entre une prépa intégrée ou une classe préparatoire. J’en ai discuté avec mes professeurs et finalement opté pour une classe prépa, filière TB (Technologie et Biologie). Elle s’adresse aux élèves issus de Bac STL. Il s’agit d’une classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE) en deux ans ouvrant aux concours des écoles d’agronomie et de vétérinaires. Mais pas de panique, si on est motivé, et que le travail est régulier, il n’y a pas de raisons d’échouer.

Après mon concours, j’ai intégré Agrocampus-ouest qui était mon premier choix. Actuellement je suis en deuxième année et je ne regrette pas mon choix."

"En seconde, j’étais une élève très moyenne, voire pas terrible, et il y avait un choix à faire. Personnellement à l’époque, je pensais que la section S avait trop de maths/physique à mon goût, la L trop de français/anglais, la ES ... sans intérêt, le choix par dépit juste pour dire "j'ai fais un bac général". Sans offense ;)

La section STL-BGB était la voix d'or pour moi, celle qui m'a un réconcilié avec l'école et je ne l'ai jamais regretté. Deux années intéressantes et enrichissantes où, pour la plupart du temps, j’aimais ce que j’étudiais.

J'ai ensuite intégré une CPGE (Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles) option TB (Technologie et Biochimie) à Toulouse, où après trois ans d’études là-bas j'ai réussi le concours pour entrée dans l'école d'ingénieur agronome VetAgro Sup à Clermont-Ferrand. Au cours de ma 2ème année d'école d'ingénieur j'ai eu l'occasion de pouvoir faire une formation parallèle, je me suis donc lancée dans un double diplôme pour obtenir en plus de mon diplôme d'ingénieur agronome, un Master Recherche en Nutrition Humaine et Santé.

Ce qui fait que mon titre a changé je suis aujourd'hui Ingénieur de Recherche et Développement dans l'Agro-alimentaire. Etant jeune diplômé depuis moins d’un an, je ne possède que le joli titre pour le moment !

Aujourd'hui, je ne regrette en rien mon parcours atypique même si je songe à une reconversion vers l'enseignement, je peux juste dire que j'ai, grâce à ce parcours, la vision d'un ingénieur avec l'expérience d'un technicien et ce dernier atout, c’est grâce à la section STL.

Alors bon courage, tout est possible ;)"

NDLR : concours réussi, Julia a maintenant rejoint l'autre côté du bureau de professeur et je suis fier de la commpter parmi mes collègues de travail !!

 "la S.V.T à  toujours était ma matière  préférée, curieuse et intriguée par ce monde à  la fois gigantesque  et microscopique. Je me suis donc orientée vers un bac technologique ;  S.T.L option B.G.B (NDLR : Biochimie - Génie Biologique, ancien nom du bac STL Biotechnologie avant la réforme de 2011) que j'ai obtenu en 2009 au lycée Costebelle (hyères,  83).

J'ai trouvé ces  2 années  très  enrichissantes. J'ai poursuivi mes études  avec un BTS d'analyse de biologie medicale, que j'ai arrêté  à  la fin de ma 1ère année.

Avec le temps, je me suis rendue compte que mon futur métier  de laborantine  ne me correspondrait pas  dans la durée à  cause du manque de contact avec les patients.

Aujourd'hui  je suis educatrice spécialisée. Je garde un très bon souvenir de ces années et surtout de la microbiologie  qui etait ma matière  préférée.

De temps en temps je continue  à  lire des articles, car les siences me plaisent toujours autant."

"Passionné par les Sciences de la Vie et de la Terre depuis le collège, j’ai confirmé cet intérêt à la fin de mon année de seconde en choisissant la filière Science et Techniques de Laboratoire spécialité Biotechnologies afin d’acquérir le savoir faire propre à cette filière et développer l’étude des organismes et phénomènes biologiques.

Mon projet professionnel consistait par la suite à réaliser une licence de science et technologies puis une réorientation en master commerce international afin de devenir technico-commercial dans les équipements de laboratoire.

N’ayant pas réussi ma licence, je me suis réorienté vers un BTS Management des Unités Commerciales en alternance avec une entreprise appartenant au monde de la banque. Je suis à présent ravi de ce que je fais et je compte préparer les concours passerelles et tremplins afin d’intégrer une école de commerce. Contrairement aux idées reçues, les filières technologiques ne vous limitent pas obligatoirement, de nombreuses réorientations sont possibles."